La finance solidaire donne ainsi la possibilité aux citoyens de s'engager concrètement dans la construction d'une société économiquement plus juste et plus transparente.
Un soutien aux jumelages de villes en Europe• 30 projets par an en moyenne, portés par des associations de jumelage, comités de jumelage ou communes de la région, sont soutenus financièrement par le Conseil régional du Centre.
• 2 500 jeunes par an participent à ces projets pour développer une citoyenneté européenne active.
Le tourisme est une activité essentielle au rayonnement de la région à l'échelle nationale et internationale. Facteur de développement économique et social, ce secteur représente 28 600 emplois salariés et 3 milliards d'euros de retombées économiques par an sur notre territoire. C'est donc un enjeu majeur et le Conseil régional s'est doté en 2011 d'une stratégie durable et ambitieuse pour accompagner et soutenir le développement du tourisme sur son territoire.
Le tourisme social et associatif, dont l'Union Nationale des Associations de Tourisme et de Plein air est le représentant, cherche à répondre aux besoins sociaux en matière de droit aux vacances de qualité pour tous.
Le tourisme associatif se veut ouvert à tous. Sa vocation sociale est de permettre à chacun de partir en vacances et d'aller à la rencontre d'horizons et de personnes différentes.
Se former implique le plus souvent une démarche volontaire mais parfois pas du tout. Elle n'est pas totalement involontaire mais plutôt fortuite ou non commandée, non décidée à l'instant où ça se passe.
Nous pouvons apprendre des notions essentielles lors d'une conversation ou en lisant un livre. Ce qui fait la différence entre un apprentissage et une connaissance intégrée, c'est le degré d'utilisation ou de pratique que nous en faisons.
Il y a une quinzaine d’années, les consommateurs ont commencé à s’intéresser aux productions...
Chaque jour, nous sommes obligés d'acheter. Il est devenu quasiment impossible de vivre au...
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Projet NATIONAL porté par le Mouvement pour l'Economie Solidaire (MES)
Pression foncière, urbanisation galopante, accaparement des terres, pollutions par l’agriculture industrielle et intensive... Autant de facteurs qui rendent les terres agricoles fragiles, rares et inaccessibles. Résultat, chaque semaine en France, 200 fermes disparaissent et 1300 hectares de terres fertiles sont recouverts de béton ou du bitume... soit l’équivalent d’une surface comme Paris qui disparaît tous les deux mois ! Les prix d’accès à la terre, qui ont bondi de 40 % dans la dernière décennie, posent une question cruciale : qui prendra la relève pour que la France puisse encore offrir à sa population une agriculture locale, saine et de qualité ?